Toute ressemblance avec le 3DFox de Thilem, héros de mes romans est fortuite.
Ici, il s'agit d'un bel engin avec une vitesse de croisière de 200 km/h et une altitude maximum de 20.000 pieds. Pour en savoir plus, voir le lien vers le constructeur.
"La guerre des drones", extrait :
Ici, il s'agit d'un bel engin avec une vitesse de croisière de 200 km/h et une altitude maximum de 20.000 pieds. Pour en savoir plus, voir le lien vers le constructeur.
"La guerre des drones", extrait :
- Nous travaillons
actuellement à la mise au point d’un drone-chasseur de nouvelle
génération, appelé 3DFox, capable de détecter et éliminer tout
menace aérienne à très courte portée. J’ai vu vos exploits à
la télévision hier et Nidrot m’a confirmé que vos engins étaient
autonomes.
- En effet, dit Fred, nous
avons intégré derrière les trois caméras optiques, sur chaque
engin, une couche logicielle d’analyse et de traitements des
images. Le tout est couplé avec un programme d’intelligence
artificielle. L’engin sait où il va grâce à son GPS et sa tâche
est d’éviter les obstacles sur son chemin.
- L’astuce, précisa
Jérôme, a été de préprogrammer certaines formes dans le
logiciel. Nous avons par exemple appris au calculateur à reconnaître
les bicornes qu’ils allaient rencontrer sur leur route, ajouta-t-il
avec une pointe d’humour dans la voix…
Si
Serge Duvisy sourit à l’allusion, Jérôme vit que son père
n’était pas d’aussi bonne humeur.
- En fait, c’est grâce à
cela que le calcul en temps réel est réduit et que le calculateur
supporte la charge d’analyse. Je crois que c’est ce qui rend le
système opérationnel en temps réel pour un vol en 3D.
- Intéressant, dit Duvisy.
La
réunion glissa sur des détails techniques. Au bout d’une heure,
les trois jeunes ingénieurs s’engagèrent à transmettre leur
logiciel et à assister Thilem dans son adaptation au 3DFox.
La guerre des drones est disponible sur Amazon, Kobo et iTunes (le tome 1 est en téléchargement gratuit chez les deux derniers), voir liens sur la colonne de droite.
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